Dans cette atmosphère un peu plus « anxiogène » 😰 que d’habitude, il est opportun de renforcer son immunité pour se protéger 😷 des virus 🦠.
Nous sommes tous porteurs de germes et sommes chaque jour en contact avec de nombreux autres. Or, nous ne succombons pas pour autant et systématiquement à toutes ces infections. Nous avons en effet un système de défense remarquable, composé entre-autre par les globules blancs et les anticorps.
En dehors de quelques situations rares : virulence extrême d’un agent infectieux comme le virus Ebola ou transmission violente, par exemple, une infirmière qui se pique accidentellement avec une seringue 💉 contenant du sang contaminé, nos défenses sont capables de s’opposer à l’agression ✋.
Pourtant de temps en temps nous résistons mal…
Il ne faut pas se tromper de cible 🎯… Le plus dangereux n’est pas pas le virus mais comment nos défenseurs (l’immunité 🛡) vont réagir face à cet agresseur 🦠
Pourquoi certaines personnes sont plus accablées et peuvent même succomber à une infection alors que d’autres ne ressentiront que peu de symptômes, voire pas du tout ? |
Il y a trois raisons principales à cela :
1️⃣ La première, nous sommes fatigués 😴.
L’énergie est le « nerf de la guerre ». Les globules blancs comme les anticorps, pour se multiplier et être efficaces, ont besoin d’énergie. Si les réserves en énergie sont basses nous sommes vulnérabilisés.
La première ligne de défense est de cultiver la vitalité au jour le jour et apprendre à la maintenir à un niveau optimal.
Recharger son énergie par LE complément énergétique et anti-stress : le magnésium
La plupart des personnes qui essayent de prendre un complément alimentaire de magnésium pendant quelques temps rapportent toujours des sensations très nettes : moins de stress, un meilleur sommeil, une meilleure concentration, un meilleur souffle, un système immunitaire plus vigoureux. Si ces résultats sont si communs c’est parce que les déficits en magnésium sont tout aussi communs ! Ce n’est pas un hasard si le magnésium est le complément alimentaire le plus prescrit par les médecins.
Répartition des calories et qualité du sommeil
Un gros repas sature les circuits des mitochondries (nos centrales énergétiques), ce qui réduit leur capacité à les transformer en ATP et augmente les fuites radicalaires. Un petit déjeuner copieux et protéiné, un repas de midi équilibré en protéines et glucides (riche en végétaux), un goûter composé de fruits, oléagineux et chocolat noir (min 70%) et un souper léger à prédominance glucidique (riche en végétaux et végétarien) favorisent à la fois un meilleur rendement mitochondrial, une disponibilité d’énergie pour les activités de la journée et un métabolisme ralenti pendant la nuit, période de récupération, de réparation et de maintenance, y compris immunitaire.
On observe par ailleurs chez près de 50% de la population de nos sociétés soit des sommeils trop courts ou non suffisamment réparateurs. Or, ce phénomène non seulement augmente l’inflammation, mais réduit les capacités de défenses anti-infectieuses. Celles-ci en effet se déroulent de manière privilégiée la nuit, comme toutes les opérations de maintenance, quand l’énergie, non utilisée par les activités physiques et intellectuelles est disponible.
2️⃣ La deuxième, nous manquons de certains outils ⚙️ pour que les défenses 🛡 fonctionnent bien
✅ Une alimentation anti-inflammatoire
Les statistiques sont écrasantes, la plupart des jeunes ne sont pas affectés, même si porteurs sains, et les personnes qui meurent du coronavirus sont principalement des personnes âgées et porteuses de maladies (« co-morbidité »). Néanmoins des personnes plus jeunes et sans maladies peuvent être touchées et même, rarement, décéder.
La cause majeure des décès est l’insuffisance respiratoire, dûe à une pneumonie. Une inflammation aigue altère les fonctions respiratoires.
La première chose à faire est donc de renforcer ses défenses anti-inflammatoires.
Quelles sont les causes principales d’inflammation ?
Une alimentation riche en protéines animales est inflammatoire. Les viandes sont les aliments les plus inflammatoires de notre assiette du fait de la présence de fer, pro-oxydant, d’acide arachidonique précurseur de prostaglandines pro-inflammatoires, de leucine, un acide aminé qui stimule le chef d’orchestre de l’inflammation mTOR, de très nombreuses bactéries et virus (plus de 80% des viandes sont contaminées et 61% d’entre elles par des bactéries antibiorésistantes et même tuées par la cuisson génèrent des endotoxines qui passent dans le sang et produisent un pic inflammatoire)…
L’autre cause d’inflammation d’origine alimentaire est la consommation de produits agro-alimentaires industriels trop riches en sucres rapides, graisses saturées, sel et additifs, tous facteurs de déséquilibre de la flore intestinale qui devient inflammatoire. Le sel a été découvert récemment stimulant d’une population de lymphocytes inflammatoires.
La consommation d’aliments ultra-transformés est inflammatoire. L’étude Nutrinet a récemment démontré qu’elle augmente les pathologies digestives inflammatoires.
A l’inverse la consommation de végétaux et d’aliments riches en magnésium, acides gras oméga 3 et polyphénols, agents pharmacologiquement anti-inflammatoires est très insuffisante chez la plupart d’entre nous.
La quasi totalité des polluants de l’air, de l’eau, des aliments non bio, des moyens de transport, des lieux de travail… ont des effets inflammatoires.
Au total, en consommant plus de végétaux et d’aliments riches en principes actifs anti-inflammatoires comme les fruits et légumes oranges, rouges, violets, noirs (les plus puissants étant les myrtilles, fraises, framboises, cerises, grenade… sous forme fraîche ou de jus), le thé, surtout le thé vert, encore plus le thé vert matcha, les infusions de rooibos ou d’hibiscus, des betteraves, des oignons, de l’huile d’olive vierge, du curcuma, du gingembre, des pommes bio avec la peau, des amandes entières (ou sous forme du purée), du chocolat noir…, en diminuant les viandes (sauf en cas de grossesse et croissance chez les enfants) par des végétaux riches en protéines comme le soja, le quinoa ou une association de légumineuses et de céréales, en choisissant des aliments bio, en pratiquant dehors et chez soi des activités physiques, en réduisant son exposition aux polluants et en optimisant son sommeil, on peut déjà réduire très fortement le risque, que même touché par le coronavirus, l’inflammation menace les fonctions vitales. |
Nous avons droit en cette période de confinement à une heure de sortie. En profiter pour aller au plus près de la nature (« greeness effect »), dont la fréquentation a été démontrée par des études remonter les défenses immunitaires.
Quelques nutriments clés nécessaires à la production des armes anti-virales et anti-bactériennes comme le zinc ou les vitamines B, ou à leur efficacité comme les antioxydants (vitamines C, E, bêta-carotène…) ne sont pas en quantité suffisante dans notre organisme. De quoi est-ce que je manque, moi, mes enfants, mes proches, pour être capable de donner les réponses efficaces aux attaques ?
Comment apporter aux défenses anti-infectieuses ce qu’il leur faut ?
➡️ Armer nos défenseurs
✅ La Glutamine
Des muscles 💪 contre les infections
L’activité sportive régulière est au moins aussi importante que l’alimentation pour améliorer les défenses immunitaires. Cela s’explique principalement par le fait que l’exercice régulier contribue à conserver une bonne masse musculaire, fondamentale pour se défendre contre les virus ou les bactéries et même les cancers.
En effet, pour fonctionner normalement, nos globules blancs, qui assurent nos défenses, ont besoin de glutamine, un acide aminé qu’on retrouve en abondance dans les aliments riches en protéines et dans nos muscles.
En effet c’est la glutamine qui est le carburant privilégié des lymphocytes. En cas d’attaque virale, les globules blancs se multiplient et la demande en glutamine augmente.
✅ Le Zinc 💥
Le catalyseur clé de la synthèse des anticorps et de la multiplication des globules blancs
Les anticorps sont des protéines utilisées par notre organisme pour détruire les bactéries et les virus. Or, les anticorps ne peuvent donc pas être fabriqués dans les quantités nécessaires si l’on manque de zinc (cela est déjà vrai au moment de la vaccination).
Quant aux globules blancs, nos autres défenseurs, comme toutes les cellules, pour les multiplier il faut d’abord copier leur informatique, l’ADN, une opération réalisée par une « photocopieuse », l’ADN polymérase, qui fonctionne aussi grâce au zinc (tout ce qui est génétique est catalysé par le zinc).
Ce minéral se retrouve en abondance dans les viandes, les fruits de mer, les poissons, mais il est le plus mal absorbé de tous les minéraux.
Et cette difficulté d’absorption s’aggrave avec l’âge. Les personnes les plus susceptibles de manquer de zinc sont les personnes âgées.
Signes indicatifs d’un déficit : Chute accélérée des cheveux, taches blanches sur les ongles, ongles cassants, cicatrisation lente, réduction du nombre de spermatozoïdes, baisse de libido, pertes d’appétit ou de goût, difficultés de mémorisation. Mais ces signes sont tardifs, et la baisse du zinc retentit bien avant leur apparition sur les défenses immunitaires.
Recommandation : Pour les sous-groupes concernés, en particulier les personnes âgées, en cas de déficit, associée aux conseils alimentaires, une supplémentation correctrice devrait être systématique (30 mg par jour). Chez les personnes âgées elle devrait être poursuivie pendant au moins 6 mois : c’est le temps nécessaire pour refaire tout son stock. Etant données les limites des apports alimentaires et la réduction de l’absorption chez les seniors, une complémentation d’entretien est souhaitable (15 mg par jour).
On prendra le zinc dans un complexe multivitamines et minéraux bien absorbé (citrate ou picolinate), sans fer ni cuivre ni manganèse.
Toutefois, la supplémentation doit être suspendue pendant une infection bactérienne (angine, cystite) ou nez-gorge-oreille même virale (risque de surinfection), car les bactéries utilisent le zinc à leur profit pour se dupliquer. On peut la reprendre une semaine après la fin de l’infection.
✅ La vitamine D ☀️
Plus il y a de vitamine D dans votre corps, plus il fabrique de des antibiotiques naturels.
Le rhume, la grippe, les pneumonies … frappent plus souvent en hiver quand les taux de vitamine D sont les plus bas.
Cette vitamine est en effet produite majoritairement lors de l’exposition au soleil. En hiver, il faudrait prendre une complémentation pour atteindre un taux plasmatique de la vitamine D autour de 50 à 60 ng/ml (voir avec votre médecin)
La vitamine D a des effets profonds sur l’immunité innée. L’immunité innée est ce qui nous permet de répondre rapidement aux agresseurs que sont les bactéries, les champignons et les virus. La vitamine D permet la production d’une famille de substances antibiotiques appelées AMP (peptides antimicrobiens). De ce fait la vitamine D est un co-antibiotique.
Par ailleurs la vitamine D est indispensable pour que les globules blancs soit différenciés, et pour qu’ils gardent une capacité optimale de multiplication. On a récemment identifié que la vitamine D a cet effet en aidant les globules blancs a rallonger leurs télomères, un petit bout d’ADN qui se raccourcit à chaque division.
La dose minimale recommandée pour booster ses défenses immunitaires est supérieure aux doses jusqu’à présent conseillées : 4000 UI par jour pour les adultes, 2000 UI pour les jeunes enfants et 1000 UI pour les nourrissons. Bien que supérieures à celles recommandées par les autorités sanitaires, ces doses sont très inférieures à la dose toxique qui est au minimum de 10 000 UI par jour, sur de longues périodes. L’idéal serait de se fonder sur le dosage plasmatique de la vitamine D dont l’optimum se situe autour de 50 à 60 ng/ml. Demandez conseil à votre médecin en fonction de votre taux dans votre biologie. |
✅ Le glutathion
En cas d’infections, le système immunitaire envoie une armée de combattants, les globules blancs. Un des moyens qu’ils utilisent pour combattre les ennemis comme les virus est de les bombarder de substances oxydantes. Pour se faire, les globules blancs produisent du peroxyde d’hydrogène (H202), de l’eau de Javel (HOCl), de l’anion superoxyde et d’autres des substances corrosives, qu’ils projettent sur les ennemis.
Une fois l’ennemi détruit, il faut stopper ⛔️ les dégâts pour que l’oxydation ne gagne pas les tissus sains, ce qui produit des phénomène inflammatoires (chaleur, rougeur, gonflements, écoulements…😰).
Pour cela nous utilisons des défenses antioxydantes , dont les vitamines C et E, les caroténoïdes, le sélénium. Parmi toutes ces défenses anti-oxydantes et anti-inflammatoires, le glutathion joue un rôle important. Mais il est aussi déterminant pour la poursuite de l’activité des lymphocytes.
Quand le taux de glutathion réduit (GSH) chute sous l’effet des substances corrosives sécrétées par le glocule blanc, l’activité du lymphocyte s’arrête et sa durée de vie est fortement abrégée. Lorsqu’il meurt il devient un pyocyte (qui forme le pus).
Cette découverte faite par le découvreur du virus du SIDA, le Prix Nobel Luc Montagnier, a été déterminante pour comprendre pourquoi les gloubles blancs, même non infectés par le virus HIV, ne fonctionnaient plus. Or, ce phénomène existe dans toutes les infections. Le système immunitaire se fragilise donc lui-même et toute infection augmente le risque d’une infection suivante de par cette corrosion des globules blancs et du glutathion, de même que par la réduction des réserves en glutamine.
Le glutathion est fabriqué dans notre organisme à partir de trois acides aminés (briquettes formant les protéines) : la L-glycine, l’acide glutamique et la L-cystéine. En cas de maladie les besoins en glutathion peuvent être très importants, si bien que notre corps ne parvient pas à en fabriquer suffisamment.
Pour faire remonter son niveau de glutathion, il suffit d’augmenter nos apports en cystéine, l’acide aminé qui limite sa synthèse.
Notre recommandation : la prise de 200 mg à 400 mg de N-acétylcystéine (NAC) par jour suffit en général, sauf dans les cas les plus sévères.
La vitamine C est le recycleur-réducteur principal du glutathion oxydé. ll faut donc ajouter systématiquement de la vitamine C 125 mg dans une fréquence à ajuster en fonction de la sévérité de la menace ou de la vulnérabilité de la personne : de une fois toutes les 3-4h à une fois toutes les heures. |
Un complexe antioxydant apportant : vitamine E, bêta carotène, lycopène, sélénium… et de polyphénols aident par ailleurs à protéger les globules blancs de la corrosion par leur propres sécrétions et à réduire les symptômes inflammatoires.
✅ La vitamine C 🍒
Elle joue de multiples rôles dans l’immunité 🦸♂️.
- Elle aide à recycler le glutathion, l’allumeur des globules blancs.
- Elle contribue à la synthèse des anticorps.
Au bout de 24 H de rhume, le taux leucocytaire de vitamine C est fortement diminué. Les globules blancs brûlent leurs cartouches, d’où l’intérêt de les recharger en continu.
En pratique, augmenter sa consommation de fruits 🍋 et légumes frais 🥦 : vit C (kiwi, cassis, papaye, agrumes bio,…).
Outre l’optimisation des apports alimentaires en vitamine C via les fruits et légumes crus (la vitamine C est hypersensbible à la chaleur), il est de « bonne guerre » étant donné ses effets antioxydants, chélateurs de polluants, cardioprotecteurs, et recycleur du glutathion et de la vitamine E, de prendre chaque jour de 4 à 6 fois (toutes les 3 – 4 h) 125 mg de vitamine C en cas d’épidémie, de contact avec quelqu’un de contagieux. |
✅ Thé vert et autres polyphénols 🍵
Les polyphénols comme les catéchines du thé vert, les anthocyanes de betterave ou de myrtille, les citroflavonoïdes d’agrumes, l’hydroxy-tyrosol de l’huile d’olive, la curcumine du curcuma, la punicalagine de grenade sont très utiles dans la situation actuelle car
- Les tanins du thé freinent l’absorption du fer, réduisant l’accès de ce facteur de croissance pour les virus, les bactéries, les levures et les parasites.
- Ils sont anti-inflammatoires, ce qui protège et les globules blancs et les tissus infectés
- et certains d’entre eux ont été documentés anti-viraux.
✅ Les oméga 3 🐟
Les oméga 3 étant les acides gras les plus combustibles sont une excellente source d’énergie, profitable au système de défenses anti-infectieuses.
Etant aussi les plus flexibles, ils améliorent la filtrabilité des globules rouges qui peuvent se faufiler dans les capillaires et augmenter la distribution d’oxygène cruciale à la fois pour la combustion des calories et pour « l’explosion respiratoire » des leucocytes, permettant la fabrication des substances oxydatives qui détruisent virus et bactéries.
Les bactéries utilisant les acides gras pour fabriquer leur membrane, sont rendues sensibles par les oméga 3 aux attaques oxydatives des leucocytes, les acides gras saturés ayant les effets inverses.
Utiliser une huile à 33% d’oméga 3, en mélangeant 2/3 d’huile de lin ou de cameline avec 1/3 d’huile d’olive extra-vierge (bio et en bouteille de verre) – 2 cuillérées à soupe par jour uniquemenrt dans les assaisonnements et à conserver au frigidaire. Les graines de chia et les graines de lin broyées sont une autre source intéressante d’oméga 3, de fibres et de lignans. Les poissons gras sont à double tranchant, étant de plus en plus pollués par des microplastiques, des perturbateurs endocriniens, dioxines, mercure et de plus en plus d’arsenic. Les moins pollués sont les petits au bas de la chaîne alimentaire : hareng, maquereau, sardine, anchois non salés. Ils ne doivent pas être agressés par la chaleur, donc consommés, après congélation de 24h pour éliminer les parasites, crus, marinés, ou vapeur. Une autre possibilité sont les compléments, dont la fiche technique doit certifier l’absence de polluants. |
Précaution :
Les compléments en oméga 3 sont contre-indiqués en cas de risques de saignements ou d’hémorragie car ce sont via les prostaglandines de série 3 de puissants inhibiteurs de l’agrégation plaquettaire.
3️⃣ La troisième, nous consommons des aliments 🍔qui profitent aux agents infectieux ☠️
➡️ Désarmer nos agresseurs
Par exemple, les acides saturés du beurre, des fromages 🧀, des fritures 🍟, permettent aux virus et aux bactéries de se forger des membranes inoxydables, inattaquables par les substances corrosives sécrétées par les globules blancs pour les détruire.
Ou nous consommons trop de fer, provenant principalement de la viande 🥩. Or, le fer est utilisé par les agents infectieux comme facteurs de croissance. Par ailleurs, il ne faut pas non plus en manquer, ce qui est aussi une cause de moindre résistance. S’ajoutent à ces excès de nutriments défavorables, des polluants présents dans les aliments, les boissons, mais aussi l’air, les vêtements, les cosmétiques, les médicaments aux effets négatifs sur nos défenses anti-infectieuses.
EN PRATIQUE
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➡️ Article de presse
ℹ️ Pour en savoir plus 🔎 :
Jean Paul Curtay, Immuno-nutrition, manuel familial de résistance aux infections, Anne Carrière
➡️ Conférence
Prêt à affronter le COVID-19 😷 ? Comment booster 💥 son système immunitaire 🛡 grâce à la nutrithérapie ?
Mise en garde : les informations que nous publions sont à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ces articles, et il est recommandé au lecteur de consulter son médecin pour toute question relative à leur santé.
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